Ma pratique s'intitule « réflexologie intégrative ».
Pourquoi pas « plantaire et palmaire » tout simplement ?
Coquetterie linguistique ?
Volonté de se démarquer ?
En partie, mais pas seulement.
C'est surtout pour signifier que la séance ne va pas seulement avoir des bienfaits pour le corps en soulageant des douleurs, des tensions ou tout ce qui provoque de
l'inconfort, mais que ça va aller bien au-delà.
Vouloir réduire une personne à une seule de ses composantes (corps, âme, esprit, mental ou autres fragmentations arbitraires) peut être utile dans le cadre d'une
discussion, mais c'est un non-sens dans une approche thérapeutique.
Une personne ne peut pas échapper à tous ses environnements (personnels, professionnels, collectifs, etc).
Tout ce qui est perçu, du temps qu'il fait aux effets du patrimoine génétique, va avoir des répercussions sur son vécu.
Un mal de ventre peut avoir pour origine une alimentation non-appropriée, des intolérances multiples et variées, un trop plein de stress ou d'anxiété, ou une
combinaison de ces raisons ajoutées à d'autres non citées.
Ainsi, afin de mettre en lumière ce qui a besoin d'être adressé au cours du massage, une séance débute toujours par un échange, plus ou moins long selon les besoins
du moment.
Dans cet échange à bâtons rompus, empreint d'écoute et de bienveillance, des éléments peuvent se déposer et vont favoriser un relâchement au sein de l'histoire.
Ajoutez à cela, une pratique corporelle dédiée entièrement à amener de la douceur, de la détente et de la relaxation, et vous obtenez ce qu'on appelle une « approche intégrative ».
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